

Notre conception moderne des sociétés du passé est trop souvent truffée d’idées préconçues, de préjugés voire même de fakes. En tant que chercheurs et chercheuses, nous sommes responsables de déconstruire ces notions dérivées parfois d’une méconnaissance de ce passé et d’un manque d’outils appropriés pour l’approcher ou même héritées d’une idéologie colonialiste et raciste. La recherche en Histoire et en Archéologie se doit donc de transmettre une « histoire » la plus argumentée et équitable possible, tout en apportant les clés pour mieux appréhender ce passé et pourquoi pas notre propre monde.